PAGE DE DÉSABONNEMENT À LA NEWSLETTER
Vous ne souhaitez plus recevoir d’e-mails de l’équipe Jazz Salé ?
Vous allez nous manquer…
Avec son sax ténor et sa flûte, elle parcourt les grands festivals – Marcillac, Vienne, Juan-les-Pins, Jazz sous les pommiers –, couronnée par le prix Django Reinhardt 2020 et les Victoires du Jazz 2022 comme Artiste de l’année.
Sophie Alour propose un jazz mélodique et sensible en recherche permanente d’un œcuménisme musical qui lui a permis de travailler avec les musiciens les plus divers comme Rhoda Scott, Stéphane Belmondo, Wynton Marsalis et même François Morel pour son spectacle La Vie, titre provisoire.
Dans son dernier album Joy, la compositrice, accompagnée par Abdallah Abozekry et son magnifique saz, explore un nouvel univers en transportant son jazz au pays des mille et une nuits. Par ses mélodies sensibles et ses harmonies sensuelles, Sophie Alour donne à son sax ou à sa flûte des sonorités rares qui nous embarquent pour un long voyage. Clin d’œil BZH, avec son enfance et sa jeunesse à Quimper, elle a du « salé » dans les oreilles.
Sophie Alour, sax ténor/flûte ; Donald Kontomanou, batterie ; Abdallah Abozekry, saz ; Damien Argentieri, piano ; Philippe Aerts, contrebasse.
Vendredi 26 mai, 20 h 30, salle La Vigie
Il est un habitué du New Morning, du Duc des Lombards, du Bal Blomet et des tournées internationales, mais le pays qui l’inspire est de l’autre côté de l’Atlantique, entre Rio, La Havane et Miami. Ses rythmiques, ses sonorités, ses harmonies sont imbibées de Brésil et de Cuba. Il y a du soleil dans son sax et en l’écoutant, l’envie prend de chalouper. Jamais cantonné à un genre, Samy Thiébault repousse les frontières musicales et géographiques en créolisant son jazz. Il en fait une sorte de leçon de vie pleine d’harmonies et de rythmes chaleureux.
Samy Thiébault, sax ténor ; Simon Chivallon, piano et Fender Rhodes ; Lukmil Perez,
batterie ; Felipe Cabrera, contrebasse.
Samedi 27 mai, 20 h 30, salle La Vigie
Pour saluer le centenaire (2021) du maître du tango Astor Piazzolla le jazz se devait d’apporter son style, ses improvisations, ses cadences propres. Louise Jallu s’est embarquée avec son bandonéon dans l’aventure à la mesure du défi face à ce monument statufié de son vivant.
Avec l’immense pianiste et compositeur Gustavo Beytelmann, elle a cherché à comprendre la mécanique secrète du maître, de ses articulations harmoniques, de ses ruptures rythmiques et de ses mélodies sous tension. Dans l’album Piazzolla Nuevo, elle passe à la loupe des pièces emblématiques comme « Soledad », « Libertango » ou « Adios Nonino ». La « petite Française » trace son sillon, ouvrant des espaces propres à l’improvisation, en jouant l’esprit mais pas la lettre pour faire tanguer le tango.
Louise Jallu, bandonéon ; Grégoire Letouvet piano et Fender Rhodes ; Mathias Levy , violon ; Karsten Hochapfel, guitare ; Arthur Hemm, contrebasse.
Dimanche 28 mai, 20 h 30, salle La Vigie